En dehors des parcs et des ilots de sérénité des sanctuaires, le centre de Tokyo est l’orgie urbaine qu’on imagine : des gratte-ciels audacieux ou massifs, une profusion de centres commerciaux et de loisirs couverts d’enseignes, des enchevêtrements de bretelles d’autoroute et de ponts ferroviaires, des restaurants tous les deux pas…

L’ile artificielle d’Odaiba, au sud, offre un peu de recul sur la ville. Autre option pour en mesurer l’ampleur, prendre de la hauteur, comme lors de notre premier séjour.

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Plus en périphérie, on trouve aussi des quartiers résidentiels très calmes (comme Minowa, celui où nous logions), où la vie quotidienne semble moins frénétique et où beaucoup d’habitants se déplacent à vélo.

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2020 02 25 Tokyo Akihabara
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2020 02 27 Tokyo Odaiba
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2020 02 28 Tokyo Ginza
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2020 03 06 Tokyo Shibuya 02
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2020 02 28 Tokyo Tour
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2020 02 28 Tokyo Zojoji
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2020 02 29 Tokyo Asakusa
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2020 03 01 Tokyo Centre congres
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2020 03 01 Tokyo Gare
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2020 03 01 Tokyo ramen vegan
Délicieux ramens et gyozas vegan, qui l'eut cru ?
2020 03 03 Tokyo Nippori
2020 03 06 Tokyo 38
2020 03 06 Tokyo Harajuku
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2020 03 06 Tokyo Shibuya

Aparté sur la vie quotidienne : manger végétarien à Tokyo, c’est possible, avec un peu de préparation. Je glisse ici quelques liens qui ont sauvé mon régime alimentaire pendant ce séjour, au cas où ils seraient utiles à d’autres : les meilleurs restaurants végétariens de Tokyo et le guide de survie végétarien au Japon, du blog Never Ending Voyage, ainsi que l’indispensable Happy Cow.